Tenté par les défis, le dépassement de soi et l'envie de créer les usages de demain avec des technologies et les données du spatial ? Étudiants et jeunes diplômés, vous êtes invités à participer au hackathon international ActInSpace. Strasbourg fait partie des 73 villes à décliner l'événement au niveau local, vendredi 25 et samedi 26 mai. L'Université de Strasbourg maximisera ses chances de victoire en faisant équipe avec l'Université franco-azerbadjanaise (Ufaz), basée à Bakou.
ActInSpace est un hackathon international, ayant pour objectif d’inventer les services et usages de demain à partir des technologies spatiales.
Cet évènement rassemble les créateurs d’entreprise, les étudiants, les entrepreneurs, les développeurs, les usagers, les créatifs, les demandeurs d’emplois le temps d’un week-end, afin de constituer des équipes et résoudre en 24 heures un des défis proposés.
Les défis, proposés par le Centre national d'études spatiales (Cnes) et l’European Space Agency (ESA) sont basés sur des technologies venant du spatial et consistent à demander aux candidats de proposer un service basé sur les technos/données et ouvert au monde hors spatial permettant de lancer une start-up.
À la clé des finales nationale et internationale, un voyage pour assister au décollage de la fusée Ariane en Guyane, un vol en Zéro G, une simulation de vol (A320) et une visite de la phase d’intégration d’un satellite ou encore un soutien à la création de votre start-up ; et un saut en parachute, une sortie à Europapark, une session d’escape game et de nombreux autres lots pour la finale strasbourgeoise.
À Strasbourg, ActInSpace est organisé par l'Université de Strasbourg (avec le soutien de l'Initiative d'excellence), le laboratoire ICube-Sertit, l'Eurométropole de Strasbourg, la Région Grand Est, Etena, la Maif et AlsaceTech.
Pour la toute première fois, l'université s'associera à l'Université de Bakou.
Depuis 1999, l’Université franco-allemande soutient la coopération franco-allemande dans l’enseignement supérieur et la recherche. L’UFA est un réseau d’établissements d’enseignement supérieur français, allemands et d’autres pays. Cette institution finance des collaborations franco-allemandes via différents appels à projets. Voici ses prochaines échéances.
Cet appel permet de financer des aides à la mobilité des étudiants durant leur phase de séjour dans le pays partenaire (à partir de l'année universitaire 2018-2019, à hauteur de 300 € par mois), des aides aux frais de fonctionnement, ainsi qu'à la préparation linguistique.
Si vous devez renouveler le financement de votre double diplôme ou si vous êtes en train de monter un double diplôme avec un partenaire allemand, merci de prévenir le Pôle unique d’ingénierie par courriel avant de soumettre la lettre d’intention.
Délai de soumission : 30 juin 2018
Découvrir les doubles diplômes franco-allemands soutenus par l’UFA
Plus d'informations
Dans le cadre de sa mission de mise en réseau des chercheurs et de développement du dialogue scientifique franco-allemand, l'Université franco-allemande soutient l'organisation de manifestations franco-allemandes à l'attention des jeunes chercheurs (doctorants et/ou post-doctorants). Ces manifestations devront développer autour d'une thématique scientifique ou d'une approche interdisciplinaire pertinente et innovante un échange fructueux entre communautés scientifiques française et allemande. Le format pourra comprendre l'organisation d'une manifestation ou d'une série de manifestations. Celles-ci sont ouvertes à toutes les disciplines et leur durée sera comprise entre deux et quatre semaines. Le montant de la subvention dépend de la durée de la manifestation et du nombre de participants. En règle générale, il s'élève à une somme entre 2 000 € et 15 000 €.
Avant tout dépôt auprès de l’UFA, merci de prendre contact avec le Pôle unique d’ingénierie par courriel pour une vérification de votre dossier puis sa mise à signature.
Prochaine date limite de soumission auprès de l’UFA : 15 juin 2018 (délai d’évaluation : quatre mois)
L'Université ouverte des humanités (UOH), l’université numérique thématique consacrée aux sciences humaines, sciences sociales, lettres, langues et arts, publie un appel à projets consacré à l’amélioration de ressources éducatives libres déjà existantes et financées par l’UOH, ainsi qu’à leurs usages.
Cet appel à projets est constitué de deux volets : Exploitations et usages (volet 1), Mise à jour et amélioration (volet 2).
Les financements accordés par l’UOH pour ces projets devront permettre aux établissements de rétribuer des équipes enseignantes.
Tous les établissements d’enseignement supérieur sont concernés par cet appel. L’adhésion à l’UOH est demandée pour les établissements porteurs de projets. Un établissement peut être porteur ou partenaire de différents projets.
La réponse doit impérativement indiquer très explicitement la ou les formations concernées ou bénéficiaires.
Le soutien financier de l'UOH est au maximum de 50 % des moyens nécessaires sur la base de budgets consolidés faisant apparaître les apports en numéraire, en industrie et en nature du ou des établissements participant au projet.
Dans le cadre du programme d’échanges Groupe Japon-Unistra, la Maison universitaire France-Japon lance un appel d’offres aux enseignants-chercheurs de l’Unistra.
Cet appel s'adresse aux enseignants-chercheurs de l’Université de Strasbourg intéressés par un séjour dans un des laboratoires de Hokkaido University (chimie uniquement), Riken et Ritsumeikan University (toutes disciplines), compris entre 15 et 21 jours (21 jours pour Ritsumeikan University). Les candidats retenus devront effectuer leur séjour au Japon pendant l’année universitaire japonaise, allant d’avril 2018 à mars 2019 (d’avril 2019 à mars 2020 pour Ritsumeikan University).
Les dates limites de dépôt des dossiers auprès du conseil de publication pour le second semestre 2018 sont fixées au 22 mai pour la réunion de début juin ; le 24 septembre pour la réunion de début octobre.
L'Université de Strasbourg propose un dispositif de soutien visant à accompagner les chercheurs engagés dans un projet éditorial. Ce soutien se traduit par l'attribution de subventions aux éditeurs pour publication d'ouvrages scientifiques : monographies, ouvrages collectifs, thèses remaniées, etc. (les publications d'articles ne sont pas éligibles). Les demandes, instruites par le pôle d'appui à la publication, sont examinées à chaque réunion du conseil de publication.
Toutes les informations sur la procédure de dépôt de dossier, ainsi que les formulaires à télécharger sont disponibles sur le site de l'université.
L'ouvrage L’appellativisation du prénom. Étude contrastive allemand-français, de Vincent Balnat, vient de paraître. Il a bénéficié du soutien du conseil de publication de l’Université de Strasbourg.
Cette étude est consacrée au passage du prénom au nom commun en allemand et en français et aux mots qui en résultent, les « déonomastiques de prénoms » tels que Metze ‘prostituée’, Hanswurst ‘guignol’, catin et jean-foutre. Couvrant la période du 12e au 21e siècle, ce travail repose sur une importante base de données, les items étant issus pour l’essentiel de dictionnaires historiques. Il fait d’abord le point sur l’état de la recherche relative aux déonomastiques en allemand et en français, sur la notion de « prototype du déonomastique de prénom » et sur les aspects sémantiques propres à ce type de mots. L’auteur dégage ensuite les principaux facteurs linguistiques et extralinguistiques qui ont pu favoriser l’émergence d’une signification lexicale, avant de classer les items collectés de manière à faire apparaître deux caractéristiques particulièrement nettes de ces déonomastiques, à savoir la forte polysémie et la tendance à la péjoration. En conclusion, le travail présente quelques réflexions à propos de l’évolution, passée et présente, de ce phénomène linguistique bien particulier qu’est l’appellativisation du prénom dans les deux langues.
Vincent Balnat est maître de conférences à l’Université de Strasbourg et spécialiste en linguistique allemande et lexicologie contrastive.
Éditions Narr Francke Attempto, Tübingen - Collection « Tübinger Beiträge zur Linguistik » - ISBN : 978-3-8233-8185-3 - 286 pages - 78 €
L'ouvrage Voir des fantômes, sous la direction de Francesco d’Antonio, Catherine Schneider et Emmanuelle Sempère, vient de paraître. Il a bénéficié du soutien du conseil de publication de l'Université de Strasbourg.
Expérience des limites, épreuve de la rationalité, surgissement des profondeurs de l’inconscient, le fantôme est tout cela. Mais il est aussi un fabuleux espace de liberté et de création.
De la scène grecque aux écrans contemporains, des écrits sacrés aux romans de la modernité, des sciences de l’esprit à la médecine de l’âme, la vision fantomatique exerce une fascination qui ne laisse pas même les sceptiques indifférents. Le fantôme n’est jamais un simple ornement ou une présence de circonstance : il est ce par quoi se révèle l’essentiel ; le moment où, l’air de rien, tout se dit, tout se joue, tout se montre. Tout l’humain est là, dans son rapport à la mort, dans son désir de voir et de comprendre, dans ses attentes et ses craintes.
Parce que ce terrain d’enquête défie les frontières disciplinaires, ce volume fait dialoguer études théâtrales, arts visuels, cinéma, littérature, anthropologie, histoire et psychologie, au travers de vingt-six études qui soulignent la grande cohérence des enjeux de la vision fantomatique dans les cultures occidentales.
Francesco d’Antonio, Catherine Schneider et Emmanuelle Sempère sont enseignants-chercheurs à l’Université de Strasbourg et respectivement membres de l’EA Culture et histoire dans l’espace roman (Cher), du Centre d’analyse des rhétoriques religieuses de l’Antiquité (Carra) et de l'EA Configurations littéraires.
Éditions Kimé, Paris - ISBN : 978-2-84174-884-6 - 518 pages - 35 €
Le numéro 5 de la Revue du droit des religions intitulé « L’organisation religieuse, une entreprise comme une autre ? », coordonné par Fleur Laronze, vient de paraître aux Presses universitaires de Strasbourg.
La diversité des activités exercées par les organisations religieuses pose la question de l’incursion d’une logique marchande qui alignerait leur fonctionnement sur celui des entreprises ordinaires. Ce numéro tente d’analyser dans quelle mesure les organisations religieuses se voient appliquer les règles de concurrence, règles fiscales ou règles sociales régissant les entreprises, tout en faisant l’objet d’aménagements préservant leur identité propre.
Les varia abordent l’instauration d’un cours de philosophie et de citoyenneté en Belgique, l’enjeu de la structuration du droit des religions comme discipline et les interprétations divergentes du principe de neutralité religieuse de l’État. Les chroniques reviennent sur l’actualité jurisprudentielle.
190 pages - 25 € - En vente en librairie ou en commande sur le site des PUS.
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 5 juin midi pour une parution le vendredi 8 juin 2018. Consultez les dates des prochains numéros.